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| On va vous faire lire un peu *__* | |
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Marverik Pétale de fleur
Nombre de messages : 11 Age : 34 localisation : entre la connerie et l'intelligence^^ qu'as-tu à dire d'autre ? : rien, à part que j'aime les allusions plus que douteuse^_^ Loisirs : les RPG, le graphisme, lire, faire marcher mon imagination,... Date d'inscription : 02/09/2007
| Sujet: On va vous faire lire un peu *__* Mer 12 Sep - 3:39 | |
| Je ne suis pas trés doué niveau dessin, parcontre j'aime bien écrire (quoi! un scientifique qui aime lalittérature, c'est quoi cette histoire?) Si si, je vous assure^^
Bon, ceci est une fanfic en rapport avec le monde de FMA (petite passion pour ce manga, mais aussi pour KH ^^)
Les nom des personnages sont de moi, et pas là peine de chercher, il n'y aura aucun Roy ou Ed dedans^^
Ah oui, j'en ai déja fait 3 chapitres (désolé, le derniers n'a pas encore était entièrement corrigé^^') et cela n'est pas finis^^'
Donc bonne lecture^^(le monstre que je suis, vous obliger à lire *__*)j'espère que vous apprécirez ^^
L’ombre des glaces
Chapitre 1 : Les lumières du soir
La neige recouvrait tout d’une couche blanche et pure qui contrastait avec la noirceur de la nuit. Celle ci tombait du ciel dans une pluie de flocons que le vent s’empressait de répandre à travers la vallée. La tempête durait depuis déjà trois heures, on ne distinguait rien, à part la faible lumière provenant d’un bidon prés duquel deux hommes tentaient vainement de trouver un quelconque réconfort. Derrière eux, deux autres personnes s’avançaient, l’un tenait une torche dans sa main et agrippait la lanière de son fusil de l’autre, alors que celui qui l’accompagnait tenait son arme à deux mains, fermement. L’arrivé de la relève fut accueillit avec des cris de joie de la part des sentinelles en poste depuis déjà une heure. Après avoir réconforté ceux qui allaient devoir prendre leur place dans le froid et la noirceur de la nuit, les deux premiers soldats se dirigèrent à grande enjambé vers une cabane située à une vingtaine de mètre de là, celle ci était éclairé par une douce lumière qui prédisait chaleur et confort au malheureux qui pensaient ne plus jamais connaître de tels délices. Arrivaient au pas de la porte, ils retirèrent la neige sur leur épaule avant d’enfin rentrer un sourire aux lèvres, l’un d’eux ne put retenir sa joie.
- Ah ! Cela fait du bien ! Pas vrais Colmer ?
L’homme d’une vingtaine d’année retira son manteau, il avait des cheveux châtains clairs, coupé court, des yeux bleus, d’une taille moyenne, on pouvait voir qu’il était dans la force de l’age, sur ses épaules, les galons de sous-lieutenant des forces d’Amestrie. Il suspendit son manteau trempé par la neige qui commençait à fondre à coté de la porte, son compagnon lui tendit le sien qu’il accrocha aussi.
- Oui, n'y a pas à dire, ça fait du bien, mais je serais pleinement satisfait que lorsque j’aurais une bonne tasse de café entre les mains !
- C’est pas de refus !
Et tandis que des éclats de rire emplissaient la pièce, un homme vint à leur rencontre, dans ces mains, deux tasses fumantes qu’il leurs tendit, un sourire aux lèvres. Les deux gardes s’empressèrent de s’en emparer s’écriant d’une même voix joyeuse :
- Merci mon Lieutenant !
- De rien, je crois que vous l’avez bien méritez !
Il se mit à rire tout en retournant s’installer dans un fauteuil placé prés d’une cheminé où crépitait un feu en dessous d’une grille sur laquelle reposait une bouilloire ainsi qu’une cafetière d’où une odeur de café s’échappait. Saisissant une tasse fumant posé sur une table à coté de lui, le lieutenant-colonel Alexander Van Grahn profitait de la douce chaleur du foyer. C’était un homme de grande taille, les cheveux mi-court brun laissaient son front dégagé, ces yeux marrons reflétaient sa gentillesse naturelle mais aussi sa nature calme et réfléchie. Contrairement au deux autres hommes, Alexander était plutôt bronzé, cela venait du fait qu’il était originaire du Sud d’Amestrie, et que son affectation au QG Nord ne datait que d’à peine un mois, ce fut même une surprise pour le bureau d’affectation de recevoir une telle demande de la part d’un si jeune officier, car malgré son grade, l’homme n’était âgé que de 27 ans, mais cela s’expliquait par le fait qu’il était un alchimiste d’état et avait participé à plusieurs batailles contre l’empire du Xing aux frontières du pays où il fit ses preuves. S’installant à son tour dans un fauteuil, un soldat soupira :
- Il faut vraiment que je quitte cet endroit… le sud, oui, c’est ce qu’il me faudrait… On dit que le Xing est moins stressant que Drakma… Tiens, mais justement, pourquoi avez vous demandé à vous faire affecter au Nord mon lieutenant ?
Alexander ne put s’empêcher de rire à la question.
- Comme pour vous lieutenant Colmer, le sable, les dunes, le soleil, la chaleur, je commençais à en avoir assez ! Et puis, je voulais voir du pays !
Le lieutenant s’enfonça dans le dossier du fauteuil d’un air refrogné, la réponse de son supérieur ne semblait pas l’avoir totalement convaincu. Cet homme de 32 ans était un pur produit des montagnes glaciales et sauvages de Brigg, à la fois bourru et entêté, charpenté tel un ours, ses cheveux longs coiffés en tresse était de couleur noire, une moustache plutôt bien entretenue encadrait ses lèvres et montrait son sérieux, tout comme ses yeux noirs comparables à ceux d'un aigle et qui lui donnait l'impression de pouvoir fusilier un homme rien qu'en le regardant. Des cicatrices sur son visage prouvaient qu’il avait l’expérience du combat, la plus visible était celle à son œil gauche, l’empreinte des griffes d’un ours de Brigg rencontré au hasard d’une ronde dans les alentours de son campement, du combat qu’il dut livrer, il garde cette balafre, mais aussi un collier sur lequel est suspendu les griffes de l’animal féroce. Le sous-lieutenant reposa la cafetière au-dessus du feu et il se tourna vers le lieutenant-colonel.
- En tout cas, c’est ce qui s’appelle passer d’un extrême à l’autre !
- Oui, vous avez raison Brant.
Les deux hommes se mirent à rire tant dis que Colmer toujours enfonçé dans le dossier du fauteuil regardait le feu danser, essayent de s’imaginer sur une dune de sable, habillé de manière plus légère tandis qu’il guette toute ombre qui se serait profilée à l’horizon, alors que le soleil tente de l’éblouir, cette vision le fit sourire ce qui ne manque pas d’échapper au sous-lieutenant.
- Et bien lieutenant Colmer, qu’est ce qui vous fait sourire autant, c’est rare de voir un ours de Brigg comme cela.
La remarque fit réagir au quart de tour Colmer qui, une veine palpitante sur la tempe jeta un regard meurtrier à Brant, Alexander lui ne pouvait se retenir de rire. Il intima au lieutenant de ce calmer.
- C’est bon, c’est bon, vous venez à peine de revenir de votre tour de garde, reposez-vous!
- Un jour, fais moi penser à t’emmener avec moi Brant, que je te montre ce que c’est un véritable ours…
- Sans façon, je préfère rester prés d’une bonne cheminée que d’aller dehors juste pour voir un ours, alors que j’ai tous les jours l’occasions d’en voir un devant moi.
Pris de fou rire, Alexander et Brant ne purent se retenir tandis que Colmer se levait déjà, redressant ses manches et se dirigeant vers le sous-lieutenant pour lui faire voir sa vision des choses. Mais alors que la gaieté et la bonne humeur emplissait la pièce, la porte du chalet s’ouvrit d’un grand coup, à son seuil, une des sentinelles.
- Lieutenant-Colonel !
Les trois officiers dirigèrent leur attention vers le soldat qui visiblement semblait paniqué, comme s’il venait de voir le diable. L’homme reprenait sa respiration, épuisé par le sprint qu’il venait de faire.
- Dehors… Il y a quelque chose… dans le ciel…
Alexander se précipita dehors, prenant au passage son manteau qu’il enfila rapidement avant de s’immobiliser au bas de l’escalier qui menait sur la terrasse couverte du chalet. Il fut rejoint par ses deux compagnons, qui, comme lui, s’immobilisèrent, le regard dirigé vers le ciel, en arrêt devant ce qu’ils pouvaient à présent voir. Une ombre gigantesque se détachait de l’obscurité, dominant la vallée. On n'arrivait pas à voir ses formes clairement, la créature avait un corps long et arrondi telle un serpent, sous le ventre de celle ci, on apercevait quelque chose, des lumières, semblable à des yeux qui scrute le sol à la recherche d’une proie à saisir. Alexander n’en croyait pas ces yeux, dans son esprit, la logique se mêlait à l’irréel, cherchant une explication, une réponse à ce qui ce qu’il voyait, mais rien, il ne trouvait rien. Les yeux toujours rivés sur la créature qui flottait dans le ciel, sans ce soucier de la force des vents, il lui sembla l’espace de quelque seconde que celle ci l’observait à travers l’un de ses yeux luminescents, avant que celle ci ne disparaisse peu à peu dans l’obscurité de la nuit et la pluie de flocons que déversait le ciel. Personne ne bougeait, encore sous le choc de ce qui venait de se passer, tout le monde tentait d’apercevoir le serpent qui quelque seconde plutôt, les observait depuis les cieux. Colmer regarda son supérieur.
- Alexander… qu’est ce que c’était que cela ?
- Je ne sais pas…
Il était rare que le Lieutenant soit aussi familier avec Alexander, mais il fut celui qui dut inculquer au nouvel arrivant tout ce qu’il devait savoir sur la frontière Nord, il se forma entre les deux hommes une confiance sans faille. Alexander abandonna avec regret la contemplation du ciel pour tenter de revoir à créature et il se précipita vers le chalet.
- Il faut prévenir Brigg sur la champs ! Que tout les hommes soient sur le qui-vive, au moindre problème, prévenez-moi sur le champs !
Une fois à l’intérieur, l’officier se saisit de la radio, tandis qu’en dehors, Brant était partie au pas de course vers un autre baraquement situé à une dizaine de mètres du chalet pour ordonner à tous les hommes de ce réveiller. Même s’il n’en avait pas l’air, le sous-lieutenant était un homme qui avait un sacrés caractère, pour lui, pas de pitié, la faiblesse est pardonnable mais elle ne pardonne pas, il faut être fort pour survivre, une telle philosophie montrait que tout comme le lieutenant Colmer, Brant était un pur produit du Brigg. Le lieutenant quant à lui c’était emparé des jumelles pour tenter de revoir le monstre sans succès. Il revint dans la pièce et regarda le lieutenant colonel.
- Alors ?
- Rien du tout, la tempête empêche toute transmission…Merde !
Il frappa la table rageusement. Il se tourna vers Colmer.
- On ne peut pas emprunter la route avec ce temps… Il va falloir attendre que le vent se calme.
Colmer acquiesça d’un mouvement de tête, puis il alla se servir une tasse de café, la porte se rouvrit laissant entrer le sous-lieutenant Brant, essoufflé par sa course et frigorifié, celui ci alla se mettre prés du feu.
- Tous les hommes sont debout… au moins, si il y a un problème, nous sommes prêts à intervenir…
Alexander ne répondit rien, gardant le silence il retourna dans son fauteuil et il se mit à regarder le ciel à travers la fenêtre, il n’arrivait plus à détacher son esprit de cette ombre, qu’était-elle ? Que faisait-elle là ? Toutes ces questions ne trouvaient pas de réponse. Dehors, la neige continuait à tomber sur la vallée balayée par le terrible vent du Nord.
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| | | Marverik Pétale de fleur
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| Sujet: Re: On va vous faire lire un peu *__* Mer 12 Sep - 3:42 | |
| [Ah oui, j'ai oublié, désolé pour les double poste, mais certain chap (le 2 et le 3^^') ne peuvent pas tenir sur un post et il faut que je double poste pour les mettre en totalité^^']
Chapitre 2 : Le mur du Nord
Lorsque les premiers rayons du soleil vinrent se refléter sur la couche de millier de diamants, la tempête s’était tut depuis 2 bonnes heures, laissant derrière elle un magnifique ciel bleu clairsemé ici et là de nuages aussi blanc que la neige qui à présent flottait tranquillement comme si la fureur de la nuit précédente n’eu jamais existé. La neige recouvrait les innombrables pins, mélèzes et sapins dont regorgé les foret sur les pants de la vallée d’une couche blanche qui quelque fois tombé au sol car la branche que la portait ne pouvait plus la supportait, cela donnait au paysage des teintes blanches tachetés de verts qui elle même changé lorsque l’ombre des sommet éternellement enneigés les dominaient de leur présence ou bien que le soleil préférait les illuminé de se douce lumière. Dans le camps, l’activité n’avait pas diminué de régime depuis l’apparition de la créature durant la tempête, les hommes ne s’aperçurent même pas que déjà, les rayons de l’astre solaire réchauffé leurs pauvres corps accablé par la fatigue d’une nuit entière de veille sous la tempête et le stresse occasionné par cette mystérieuse apparition. Les soldats s’activaient a déblayer la route ensevelis sous la neige tandis que d’autre s’occupait de réparer les dégâts occasionné par le vent et la neige. Devant la cabanes des officier, deux voiture attendaient, celle ci étaient équipés de chenils à l’arrière, leurs permettant ainsi de pouvoir emprunter la route enneigé sans risque, à leurs bord, des soldats qui attendait que le lieutenant-colonel donne ses derniers ordre au sous-lieutenant Brant qui aurait la charge du camps tout le temps durant le quel Alexander et Colmer seront au fort de Brigg où le lieutenant colonel Van Grahn avait était réclamé par son supérieur pour avoir un rapport plus détaillé de la fameuse apparition qu’il leurs avait décrite à la radio dés que la tempête se fut calmé. Après s’être adressé un derniers salut, le Lieutenant et Alexander embarquèrent dans une des voitures qui ne put se pencher légèrement à l’arrière lorsque Colmer eu prit place dedans, cela n’échappa au sous lieutenant qui s’empressa de crier à la voiture qui déjà se mettait en marche :
-Si jamais vous ne pouvais pas avancer, laisser sur la coté de la route le surpoids, il sera parfaitement revenir seul au camps.
Et, un sourire aux lèvres, Brant adressa un signe de main à ses deux amis qui s’éloignaient de la cabane, et tandis que Alexander ne pouvait se retenir de rire, Colmer, à moitié sorti par la fenêtre de la voiture, brandissait furieusement le bras en direction du sous lieutenant et lui beuglant toute les injures possibles et imaginables que son esprit pouvait inventer à l’encontre de l’homme.
Suivant la route qui longeait la petite rivière qui serpentait au cœur de la vallée, les deux officiers gardait le silence, leur pensait tourné vers la créature mais aussi sur l’entretient qu’il allait avoir avec leur supérieur. Colmer brisa enfin le lourd silence qui c’était installé depuis leur départ.
-Ne vont-ils pas nous prendre pour des fou ?
-Je n’en ai aucune idée… Le général peut-être pas, mais au QG nord, je pense que notre rapport ne fera pas long feu…
Alexander soupira, cela allez lui faire une belle jambe d’être pris pour un illuminé. Il regarda le paysage défiler devant ses yeux. Posant sa main sur le dossier en face de lui, il pointa du doigt une amas de débris noir qui résidait au centre de la valais en face d’eux, se tournant vers la Lieutenant.
-Colmer, ce n’est pas sensé être le pont ?
L’homme se redressa pour mieux voir, effectivement, les décombre au fond de vallée de pierre noirci et de ferraille tordu était tout ce qui restait du pont qui enjambé la rivière et qui permettait l’acheminement rapide de ressource au camps de Alexander. La voiture s’arrêta devant les derniers vestiges qui permettait de dire qu’une structure métallique de trois cents mètres de long relier les deux flanc de la vallée, pour laisser sortir les officiers qui ne purent que constater, impuissant mais surtout sans savoir comment cela était arrivé, l’amas de ruine qui gisait trente mètres sous leurs pieds. La tempête d’hier soir ne pouvait expliquer l’effondrement du pont, et même, rien ne pouvait l’expliquer, surtout pourquoi une partie des pierre en dessous des deux hommes étaient noirci, une explosion, un attentat, une attaque de Drackma ? Mais surtout, comment si les commanditaires si étaient ils pris pour faire cela, en pleine tempête ? Alexander ne comprenait pas ce qui venait de ce passer, il se tourna vers le deuxième véhicule.
-Retourner au campement et avertissaient les de ce qui vient d’arriver et que deux entre vous reste prés des décombre !
Puis il retourna dans sa voiture, suivit par Colmer, ordonnant au chauffeur de prendre l’autre route pour rejoindre le fort de Briggs. Il repartire en direction de la forteresse l’esprit encore plus encombrait d’inquiétude et de crainte, ne sachant plus quoi pensait. Colmer croisa les bras et garda le silence, le regard fixe dirigeait doit devant lui, puis il lâcha enfin.
-Un coup de Drackma, j’en suis certain !
Alexander ne répliqua rien, il était normal que Colmer réagisse comme cela, après tout, l’esprit des habitant du nord ne voyait Drackma que comme la représentation même de l’être à abattre. Les conflits entre Amestris et le puissant empire du nord ne datait pas d’hier et depuis plusieurs siècle, bon nombres de bataille fut livrer dans les inhospitalière montagne de la chaîne du Briggs. S’accoudant à la fenêtre, lâchant un simple soupire, Alexander savait qu’il était entrain de s’embarquait dans une bien étrange affaire, mais il était décidé à mettre les lumière sur tout ces événements.
La destruction du pont obligea la voiture d’Alexander à faire un détours, un long détour, beaucoup trop long au goût de celui ci qui ne tentais depuis plus de deux d’assemblait un puzzle dont il n’avait encore qu’un infime partie des pièces. Un silence pesant régnait à nouveau dans la voiture, personne ne voulait parlait, et puis, pour dire quoi. Après avoir du rouler au milieu de la froide végétation de Briggs, enfin ils atteignirent leur destination, devant eux, il pouvait le voir, le célèbre mur du Nord. Blottie au cœur d’une vallée, coupant celle ci sur toute sa largeur, le fort de Briggs était en réalité une sorte de gigantesque baraque de plusieurs centaine de mètres de haut qui retenait les terrible flot de Drackma, empêchant ceci de déferler sur les terre d’Amestris. A l’intérieur de ce gigantesque complexe, il n’existait plus qu’une loi, et à l’image des montagne qui l’entourait, les troupes de Briggs étaient tous solidaires et unis mais représente eux aussi de véritable contre-fort montagneux. La forteresse est en guerre permanente avec l’empire du Nord, au point même que celle ci c’est jeté dans une course effréné dans l’acquisition de nouveaux armement encore plus performant, que ce soit dans le domaine de l’artillerie et des pièces lourde que celui des auto-mails. A la tête d’un telle régiment, une personne, celle que l’on surnomme « la falaise nordique de l’armée » , le Major Général Olivia Milla Armstrong, une femme au tempérament aussi froid et sans pitié que les montagnes qui entour le fort. Alexander sortie du véhicule, ainsi que Colmer, bien heureux de pouvoir enfin se dégourdir les jambes. Un soldat vint à leur, après un salut réglementaire auquel le lieutenant –colonel répondit, il les mena à l’intérieur de la forteresse. Alexander soupira, le fort n’était pas vraiment le lieu qu’il chérissait le plus, mais, il s’y sentait tout de même un peu comme chez lui. Le bruit de leur pas résonnait dans les long couloir du fort, à cette heure de la journée, et après une telle tempête, tout les hommes de la basse devait être afféré à déblayer les routes. Le soldat s’arrêta devant une porte, celle du bureau du major général, Alexander la contempla avant de faire signe à l’homme qu’il était prés à affronter celle qui ce trouvait derrière cette porte. Le soldat ouvrit la porte et se mit au garde à vous devant son supérieur et lui annonça.
-Major Général, le Lieutenant-Colonel Van Grahn.
-Faites le rentrée…
Cette voie féminine et tout à fait neutre provenait d’une élégante jeune femme assise derrière un bureau sur le quel siégeait des dossiers et document qu’elle lisait avec attention et signait. La jeune femme leva les yeux sur Alexander lorsque celui ci rentra, les yeux du Major Général était d’une belle couleurs bleu ciel qui allait parfaitement à sa chevelure d’or, mais, en général ceci reflétait plus l’indifférence ou encore la colère, des expressions qui apparaissait très souvent sur le visage de Olivia. Alexander lui adressa rapide salut militaire avant que celle ci ne lui désigne de la main le siége placé devant son bureau. La porte se referma aussitôt, laissant Alexander en présence du Major Général dans cette pièce éclairé exclusivement par une ampoule, le bureau ne comprenant aucune fenêtre, et surtout était tout à fait à l’image de la forteresse, rien d’inutile, pas de bibliothèque, ni même de table ou de fauteuils, juste un bureau, des chaises qui étaient les seuls meubles qui apportaient une certaine décoration, des cartons empilés dans un coin, une corbeille, un téléphone, des dossiers entassés sur le bureau. Abandonnant ces dossier pour fixer droit dans les yeux le Lieutenant-Colonel, Olivia ne perdit pas de temps en discutions inutiles et plongea dans le vif du sujet :
-Lieutenant-Colonel, racontez moi ce qui c’est passait la nuit dernière je vous pris !J’ai lu le rapport que vous avez fait mais je veux l’entendre votre propre bouche.
Alexander resta silencieux un moment, mettant en ordre dans sa tête tout les faits, puis, il répondit enfin :
-Hier soir, au environs une des sentinelle en garde devant l’entrée du camps et venus me prévenir moi et mes subordonnés qu’il y avait un problème. Nous somme sortie pour voir ce qu’il en retournait, et ,nous avons vu dans le ciel une ombre gigantesque, celle ci avait une forme allongé et des lumière provenait de celle ci. Je suis incapable de vous dire ce que c’était, mais cette chose volait, et elle se fichait totalement de la tempête. Elle disparut au bout de quelques secondes. J’ai tentait d’avertir Briggs, mais le vent empêchait toutes communication. Et aujourd’hui, nous avons découvert que le pont qui permettait au ravitaillement d’atteindre plus rapidement le camp avait était détruit, et ce n’est pas la tempête qui a provoqué sa destruction, j’en suis sur.
Dernière édition par le Mer 12 Sep - 3:48, édité 1 fois | |
| | | Marverik Pétale de fleur
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| Sujet: Re: On va vous faire lire un peu *__* Mer 12 Sep - 3:43 | |
| Les yeux d’Olivia se plissèrent.
-Le pont a été détruit ?
Acquiesça d’un signe de tête .
-Nous l’avons découvert ce matin tandis que nous nous dirigions vers le fort… le pont a été entièrement détruit, et je ne sais comment l’expliquer…
-Il n’y a pas mille explication possible, cela ne peut être que Drackma !
Alexander ne répliqua rien, de tout manière, cela aurait était inutile. Au fond de lui, il se disait aussi que les responsable de la destruction du pont n’était que l’empire du nord, mais, il n’écartait la possibilité d’un attentat. Dans la pièce retentit la sonnerie du téléphone, faisant disparaître le silence qui venait de s’installer, Olivia décrocha et détourna le regard vers un document qui se trouvait devant elle. Alexander garda le silence, attendant que sa supérieur eu fini, puis, lorsqu’elle raccrocha enfin, il la fixa. Elle soupira avant de tendre à Alexander le document qu’elle tenait en main. Celui ci le pris sans trop comprendre.
-Lieutenant Colonel, je vous charge d’enquêter sur les événement d’hier soir, mais avant cela, je veux que vous vous occupiez de cela…
Parcourant rapidement le document qu’il avait en main, Alexander regarda Olivia.
-Mais, ils ne devrait pas plutôt être enfermé dans les prisons de Central ?
-Les parlementaires préfèrent les faire disparaître dans les montagnes plutôt que de devoir avoir à les garder dans des prisons… Tous ces alchimistes doivent être envoyé à Baschool. Les politiciens de Central semble avoir trouvé un moyen de s’en mettre plein les poches sans à avoir à donner quoi que ce soit en échange…
Alexander plia la feuille et la mit dans la poche intérieur de son uniforme. Baschool était une ancienne ville minière à l’est de la base, il semblait que pour tout ces alchimistes qui avait participé à des programmes de recherche sur les transmutations humaines mais aussi sur les chimères allaient devoir faire du travaille forcé. Parmis eux, d’ancien alchimiste ayant participé à la guerre civil d’Ishbal. L’officier regarda son supérieur.
-En gros, je dois les escorter là bas, c’est cela ?
-Tout à fait, c’est l’armée de Central qui a en charge la garde du camps où ils seront regroupé… On dirait qu’il souhaite ce débarrasser d’eux en les envoyant travailler dans les mine désaffecté…
-Qui ira se plaindre, les parlementaire ont rejeté toutes les fautes sur eux, ils sont considéré comme des parias.
Alexander soupira, il se leva de son siége et salua le major général avant de se diriger vers la porte. Olivia l’interpella avant qu’il ne sorte
-Alexander, pas d’idiotie, emmenaient les là-bas, un point c’est tout… souvenez vous de ce qui c’est passé dans le Sud, je suppose que vous ne voulez pas à nouveau à subire cela.
L’homme baissa les yeux, les poing serré, il se retourna pour fixer dans les yeux Olivia.
-Bien… et puis, je crois qu’ils risquerait de m’envoyer beaucoup plus au nord cette fois ci…
-Ou au fond du trou !
Le Major Général se leva, saisissant au passage son épée qu’elle quitter jamais. Elle s’approcha d’Alexander le fixant droit dans les yeux.
-Sachez que je ne souhaite pas voir cela arriver, alors conduisez les à Baschool et ensuite, vous vous occuperez d’enquêter sur ces événements étranges, mais avec discrétion, si le parlement l’apprend, ils ne se gêneront pas pour nous prendre pour cible…
Alexander lui adressa un signe de tête, puis il ouvrit la porte, derrière laquelle Colmer l’attendait, il salua le général Olivia puis suivit Alexander qui s’éloignait déjà de son supérieur, celle ci l’interpella à nouveau.
-Alexander, lorsque vous croiserez Adam Zolpavish, surtout, gardez votre sang-froid, ils ne vous louperont pas là dessus non plus !
L’homme s’immobilisa un instant, serrant les poings il se retourna pour regardait Olivia Il afficha un sourire forcé, crispé par la colère.
-Entendu… Me permettrez vous juste de lui mettre mon poing dans la figure ?
-Tant que vous ne lui collez pas une balle entre le deux yeux, cela me va… Et un conseil, visez le nez !
Le Major Général tourna le dos à Alexander et s’éloigna dans la direction opposé, accompagné par le soldat qui avait menait les deux officier à Olivia. Reprenant sa marche, Alexander garda le silence jusqu’à arriver à sa voiture, une fois à bord et après avoir indiquer au chauffeur d’aller à la gare, il s’adossa contre son dossier, l’air refrogné. Colmer regarda son supérieur, puis lui demanda enfin :
-Pourquoi allons nous à la gare ?
Alexander sortie le document que lui avait remis Olivia, le Lieutenant le lut et le rendit à son supérieur avant d’ajouter.
-Et qui est ce « Adam Zolpavish » ?
Alexander s’accouda à la au rebord de la fenêtre.
-La pire enflure qui m’est était donné de voir… Si il y a une chose qui me ferait le plus plaisir, c’est de lui coller une balle dans le ventre et le voir souffrire avant de mourrire…
La réponse fut directe et franche, Colmer ne chercha pas avoir plus d’explication, il se doutait bien que son supérieur devait avoir une très bonne raison pour haïr cette homme. Alexander fixait le paysage devant lui, de la neige, beaucoup de neige, elle y ressemblait trop, elle ressemblait trop à ce sable dans le désert, un océan infini de sable brun chauffé continuellement par le soleil, la chaleur étouffante, le vent, tout lui rappelait ce jour lointain qui le hantait dans le sommeil… Cela c’était passé il y a 2 ans, une simple mission d’escorte, emmenait des prisonnier Ishbalites d’un camp à un autre, toutes ces pauvre âmes serraient les une contre les autre dans des camions, le cries des enfants, les mères qui tentaient de les calmer, les plaintes des vieillards, le cris des soldats menaçant de tuer le prochain qui se plaindrait. Alexander soupira, il tourna la tête vers un homme d’une trentaine d’années, les cheveux noir de jaie long et les yeux tout aussi noir. C’était un homme plutôt élégant, il portait un uniforme de l’armée, sur ses épaule, les galons de colonel, le regard plongé dans la lecture d’un rapport. L’homme se tourna finalement vers Alexander, un sourire aux lèvres.
-Et bien Major Alexander, que vous arrive t’il ?
Alexander soupira .
-Je déteste faire cela Colonel, vous le savez très bien, c’est inhumain, pourquoi ne pas le libérer…
L’homme tourna le regard vers le camion en face de lui.
-Ce sont les ordre Alexander, un point c’est tout !
-Adam, tu sais très bien ce que j’en fais de ces ordres, la guerre civil est terminé, ne les a ton pas assez humilié comme cela, je t’en pris, tu sais tout comme moi que le camps où nous les menons est un prétexte, tu sais tout comme moi ce qu’il vont faire d’eux !
Un sourire apparut sur le visage du Colonel qui fixa droit dans les yeux le Major, ce sourire et ce regard firent frissonner Alexander.
-Biensure que je sais ce qui les attends… Mais dit moi, vas tu allez contre les ordres ?
Alexander détourna le regard vers les dunes qui s’étendait à l’horizon.
-Non… et tu le sais très bien…
Adam redirigea son regard vers son rapport.
-Père aurait été fier de toi… « Toujours obéir au ordres, et ne jamais aller à leur encontre, sinon…
Et d’une voix emplie de lassitude, Alexander acheva la phrase de son demi-frére.
-…tu finira comme moi, devant un peloton d’exécution, ton honneur et celui de ta famille bafoué... » Pas la peine de me le rappeler !
Adam posa sa main sur la tête de son jeune demi-frère.
-Et pourtant si, il le faut… Tiens, nous arrivons !
Un sourire mêlant joie et plaisir apparurent sur le visage du Colonel lorsqu’il aperçu les mur du camps, tandis que l’expression d’Alexander, elle s’assombrissait à mesure qu’il s’approchait de sa destination. | |
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| Sujet: Re: On va vous faire lire un peu *__* Mer 12 Sep - 3:45 | |
| Chapitre 3 : De la neige au sable… De l’amour à la haine…
Les pneus du véhicule s’arrêtèrent devant un bâtiment en bois foncé, le toit entièrement recouvert par une épaisse couche de neige vestige de la tempête de la veille. Colmer posa la main sur l’épaule du Lieutenant Colonel et le secoua un peu pour le réveiller, celui ci c’était endormis sur à la fenêtre, la joue posé sur son poing fermé tandis que son esprit lui reposait dans les bras de morphée. Ouvrant lentement les paupières, Alexander bailla tout en s’étirant, puis, la trace de son poing contre la figure, il regarda Colmer d’un œil endormie.
-On est arrivé ?
Colmer hocha le tête et s’extirpa du véhicule. Alexander regarda la petite gare, celle ci n’avait rien de très impressionnante, à part les entrepôts qui l’entourait, son usage était presque entièrement réservé au transport de matériel militaire ainsi que de matière première pour le développement et la création de nouvelle arme, une denrée dont le fort était très friand. Ouvrant la portière, Alexander dut se faire à la dur réalité, il faisait froid, en tout cas, cela le réveillerait avant l’arrivé des prisonniers. Jetant un coup d’œil au alentours, il aperçu plusieurs camion garé non loin de l’entrée de la gare, de nombreux soldats attendaient eux aussi l’arrivé des alchimistes. Alexander se précipita à la suite de Colmer qui s’apprêtait à pénétrer dans la gare, celui ci laissa son supérieur rentrer avant lui, vu comment le Lieutenant Colonel se frottait frénétiquement les épaules, il compris tout de suite que ce temps de repos dans la voiture lui avait jeté un froid. Un sourire amusé au lèvres Colmer n’échappa à Alexander.
-Qu’est ce qui vous amuse Colmer ?
-Oh rien, je me demandais seulement comment vous faisiez pour supporter aussi bien le froid.
Soufflant dans ces main, Alexander rentra dans le hall de la petite gare pourtant envahie par des militaires qui attendait le train autours de tasse de café chaud. Se faufilant au milieu des soldat qui lui adressait leurs salutations, Alexander pris pour objectif d’aller conquérir une tasse bien chaude au comptoir aménagé au fond du bâtiment. Arrivé devant le comptoir, le contrôleur qui se servait de quoi se réchauffer remarqua le pauvre homme meurtrie par le froid et s’empressa de lui servir une tasse qu’il lui tendit avec un chaleureux sourire. C’était un homme de taille moyenne, il devait avoir entre cinquante et soixante ans, ces cheveux noir grisaillaient légèrement, une moustache elle même noir bien taillé et entre tenus surplombée des lèvres qui révélait la nature bienveillante et gentille de l’homme.
-Et bien Lieutenant Colonel, la chaleur du sud vous manque t’elle temps ?
S’emparant avidement de la tasse avec une avidité non feinte, juste après avoir retiré et jeté ses gants sur le comptoir, Alexander but une gorgé du liquide chaux qu’il sentait en lui descendre lentement. Il tourna les yeux vers l’extérieur.
-J’avoue que si il faisait un peu plus chaud, cela ne ma dérangerais pas, mais…
Le contrôleur émit un petit rire avant de finir lui-même la phrase d’Alexander.
-Mais vous ne pourriez admirer le manteau blanc du Briggs.
Alexander regarda l’homme, un sourire amusé aux lèvres.
-A ce que je vois, vous vous souvenez encore de notre discutions à mon arrivé ici.
-Comment oublier votre arrivé ici ! A peine le pied dehors que vous vous êtes mis à éternuer tellement fort que j’ai crus que vous alliez déclencher une avalanche.
Tout deux se mirent à rire, malgré le fait qu’il ne s’était croisé que deux ou trois fois, les deux hommes semblait très bien s’entendre, et cela n’échappa aux soldats qui les regardèrent. Colmer rejoignit son supérieur après s’être renseigné sur le dispositif mit en place pour le transfert vers Baschool. Lorsqu’il aperçu le contrôleur, il adressa un signe de main à l’homme qui le lui rendit avec un sourire. Colmer se pencha au dessus de l’épaule d’Alexander.
-Je viens d’apprendre que le Général Morgan se trouvait dans le train.
Le Lieutenant Colonel se retourna, totalement surpris par cette nouvelle, et une incompréhension totale de la situation se lisait parfaitement sur son visage.
-Mais que fait-il dedans ? Il n’est plus en charge du QG Sud ?
Colmer haussa les épaules, il n’en savait pas plus que lui sur les raison qui poussait celui qui commandait d’une main de fer les forces armée du Sud à venir se perdre dans les contre-fort enneigé de Briggs. Alexander dirigea son attention vers sa tasse de café, la fixant comme si il fixait l’étrange enchaînement des coïncidences et bizarrerie qui apparaissait peu à peu sous ses yeux. Il soupira avant de boire une nouvelle gorgé de son café, à ce moment là, un sifflement d’un train parvint à ses oreilles, lui annonçant ainsi la venus de trois choses, qu’il attendait avec impatience, les alchimiste qu’il devait escorter, le Général Morgan à qui il avait beaucoup de question à poser, mais surtout, ce qui le rendait nerveux, son demi-frère. Avalant d’un trait le contenu de sa tasse et remerciant le contrôleur, il partie en direction des quai pour recevoir les présents que Central offrait à Briggs. Le hall se vida très rapidement, les soldat prenait position pour le débarquement des prisonniers et leur acheminement dans les camions qui se garaient devant l’entrée de la gare. Le contrôleur transporta les tasses que ces hôtes avaient posé sur les plateau qui avait servit à les servire, le vieil homme préféra ne pas être présent tandis que les unité de Briggs acheminait les alchimiste vers les véhicules. Enfonçant son képi sur la tête, la visière cachant en partie ses yeux mais ne le gênant pas pourvoir arriver devant lui le train et son défilé de wagon, d’on à chacune des fenêtres on pouvait voir le visage blafard et sans vie des paria qui découvraient le lieux qui sera leur demeure, mais aussi leur tombe. Alexander ne connaissait que trop ces visages, il garda ses mains dans son dos, mais les serra fort l’une contre l’autre, l’expression de son visage restant impassible malgré le dégoût qu’il ressentait au plus profond de lui de devoir voir ces visage mort avant l’heure. Tout, oui, tout lui rappelait ces souvenirs qui lui avaient forcés à coupé court avec son passé, tout, même ce vent qui vint frapper le visage de Alexander, mitraillant son visage de cristaux, fermant les yeux pour les protéger, comme là bas, comme à se moment…
Une bourrade entre les deux omoplates le déstabilisa vers l’avant, manquant de le faire tomber, se tournant pour fixer celui qui était le commanditaire de cette attaque, Alexander ne put que rencontrer le visage souriant de son demi-frère. Tout deux étaient juché en haut d’une dune, observant le soleil couchant qui disparaissait dans l’infinité sablonneuse du désert élançant sur le sol un dégradé de colories rouge, orange et jaune ce mêlant au ombres que projetaient les dunes. Adam regarda amusé Alexander.
-Et bien, que me vos un tel regard ?
-J’ai failli me casser le figure en bas de la dune par ta faute !
Alexander se redressa avec un soupire lasse et fatigué, derrière lui des hommes et des femmes étaient déchargé de plusieurs camions encadré par des soldat, qui les guidaient vers l’entrée d’un camps aux murs ocre dont les sommets étaient tous recouvert de barbelés. Encadrant le portail d’entrée du camps, de tours de garde où des soldat, l’arme point surveillaient le transfert ainsi que l’horizon. Au quatre coin du camps, d’autre tours de vigie, plus grande permettant à ceux qui s’y trouvait de dominer le camps mais aussi les alentours. Après avoir admiré le soleil disparaître à l’horizon, le temps que leurs hommes décharges leurs chargements humains, Adam et Alexander rejoignirent le camps pour aller à la rencontre de celui qui en avait la charge. Accroché aux grillages, le regards vide, suppliant ou haineux, les détenus regardaient les deux officiers qui passaient devant eux qui se trouvaient de l’autre côté, libres de faire et d’aller où ils voulaient, mais surtout, libre de vivre, car ce qu’ils regardaient passer devant eux n’étaient que leur bourreaux qui les avaient condamnés et cela, sans procès, sans chance de pouvoir ce défendre, seulement parce qu’il était différent, eux, les Ishbalite, ces hommes, femmes et enfants au teint mat et aux yeux rouges, eux qui survivait dans la dur et douloureux désert avaient, par le simple ordre d’un homme, étaient condamnés à n’avoir plus de droit et de disparaître de la surface de ce monde qui durant de trop nombreuses année ces révélé être injuste avec ce peuple déjà à l’agonie. Alexander garda les yeux baissés, il n’osait regardait en face ceux qu’ils avaient conduit ici, il se sentait honteux, et si il l’avait put, il aurait détruit ces murs et ces chaînes qui retenaient ces âmes dans l’antichambre de la Mort, mais, lui même avait ces propre chaînes qui dont il ne pouvait ce débarrasser, qui l’étreignaient de tout son être, l’une d’elle était son demis-frère qui, marchant à coté de lui, semblait bien étranger au spectacle qui l’entourait, et même, il en affichait une mine amusé et heureuse, comme si la seul chose que tant de misère lui apportait était la fierté, il était fier du travaille qu’il avait accomplie et qu’il allait accomplire. Ce sourire, Alexander le détestait, ainsi que ceux qui le portait, pourtant, lorsqu’il s’affichait sur les lèvres de son frère, il ne le voyait pas, il se forçait à faire comme si celui ci n’existait pas, préférant regarder ailleurs. Lorsque les deux hommes pénétrèrent dans le bâtiment, le jeune officier haussa enfin lever les yeux, ils se dirigèrent tout les deux devant une porte qui s’ouvrit lorsqu’ils se furent immobilisés devant, au garde à vous, oui, cette porte, cette situation, c’était presque la même, elle se répétait à nouveau et la encore, Alexander se sentait mal à l’aise, pourtant, il ne montrait rien de tout cela, son képi sur sa tête, au garde à vous, mais il ferma les yeux, un coup de vent venait de passer par une fenêtre restait ouverte, emmenant avec elle des grain de sable qui giflèrent le visage de Alexander, l’obligeant à fermer les yeux au même moment que la porte s’ouvrait.
Le bruit des pas résonnaient sur le béton du quai de la petite gare qui voyait se déchargeait les wagon de ces prisonniers tandis qu’un vent froid les accueillait dans ce qui serait leur dernière demeure. Alexander rouvrit les yeux qu’il avait fermait pour ce protéger des mille aiguilles que le vent de Briggs portait avec lui et ne put que constater que la porte venait de s’ouvrire, tandis que ces souvenir l’avait à nouveau submergé au point d’en oublier qu’il n’était plus sous la chaleur du soleil du Sud, mais à la merci du vent du nord, mais une chose coïncidait entre ces relique d’un passé révolue et cette avenir trouble qui se profilait à se vue, c’était cet homme, qui venait d’apparaître dans l’encadrement de la porte du wagon, vêtu d’un uniforme bleu, un manteau sur les épaule dont le col était en fourrure allait de pair avec l’expression hautaine qu’arborait son visage, ses yeux noir telle deux gouffre sans fond se promenant sur l’assistance qui, au garde à vous créait une haie d’honneur jusqu’à Alexander et Colmer qui eux aussi le saluaient. Le Général Morgan était un homme imposant par sa taille que par sa carrure, un colosse qui dominait de hauteur comme d’arrogance ceux qui l’entourait, seul Colmer semblait pouvoir se mesurer à cette force de la nature qui avait acquis sa réputation au frontières sud d’Amestris après de nombreuse campagne mené contre Aerugo qui toute furent de franc succès et dont les nombreuse preuve parsemait son visage ainsi que son crane chauve. Lorsqu’il décida enfin à descendre du train, il laissa entre-apercevoir ce qui faisait la fierté de cette officier réputé pour valoir à lui seul un régiment, deux auto-mail conçu pour le combat, des machines de guerres dont l’un comme l’autre était gravé de sceau alchimique. Lorsque l’homme arriva en face du Lieutenant-Colonel qui semblait disparaître sous l’ombre de Morgan, celui ci lui rendit son salut et fixa l’officier dans les yeux.
-Heureux de vous revoir Lieutenant Colonel Van Grahn, à ce que je vois, vous vous êtes bien adapté au froid du nord.
-Oui, enfin, j’ai encore quelque difficulté les jours de grande tempête. On ne m’avait pas prévenus de votre présence dans le train Général, je n’ai donc que mon véhicule à vous proposer pour vous acheminer à Briggs.
-Je compte me rendre au camps de Baschool avec les prisonniers, et puis, je crains que le Major Général Zweig ait réellement envie de me voir à Briggs…
A ces mots, Alexander se souvient de la réaction du Major Général lorsque celui ci lui avait donné une lettre de recommandation écrite par le général Morgan. Ces deux officier étaient très ambitieux et l’un comme l’autre, ils ne supportaient pas la concurrence et lorsqu’ils venaient à ce croiser, l’atmosphère devenait électrique, un rien pouvant déclencher les hostilité. Morgan et Alicia sont des ennemis naturelle des parlementaires qui n’attendent qu’une erreur de leur part pour les mettrent sur la touche définitivement. Alexander soupçonnait que Central avait décidé de ce servir des alchimistes pour forcer les deux officiers à commettrent un erreur et ainsi à la fois ce débarrasser de ceux qui font la honte du pouvoir mais aussi ceux qui le menacent. Morgan enchaîna :
-Par contre je pense que votre proposition tombe à pique. J’ai ici avec moi une personne qui m’est cher, et je ne souhaiterais pas qu’elle m’accompagne dans un lieu aussi insalubre que Baschool. Mon ange, viens par ici, ne soit pas timide.
Le ton de la voix du général était devenus mielleux, le terrible Morgan venait de s’éclipser pour laisser place à une sorte de papa poule et cela à la plus grande surprise d’Alexander qui vu apparaître dans l’encadrement de la porte une petite fille de 12 ans emmitouflé dans un énorme manteau de fourrure brune. Les cheveux noir bouclés, le regard fixe, sans expression, ses main ganté serrant un ours en peluche noir, la jeune fille ressemblait une petite poupée que le général Morgan s’empressa de prendre par la main pour la présenter à Alexander, alors qu’un grand sourire qui passait plus pour un rictus malveillant illuminait son visage.
-Je vous présente mon sucre d’orge, la lumière de ma vie, mon petite ange… ma fille, Mina Vell Morgan.
Celle ci s’inclina respectueusement avant de se redresser pour poser son regard dans celui d’Alexander, elle le fixa droit dans les yeux et cela donna une étrange impression à Alexander, le regard de la fille du général était perçant, comme si elle cherchait à lire en lui.
Dernière édition par le Mer 12 Sep - 3:49, édité 1 fois | |
| | | Marverik Pétale de fleur
Nombre de messages : 11 Age : 34 localisation : entre la connerie et l'intelligence^^ qu'as-tu à dire d'autre ? : rien, à part que j'aime les allusions plus que douteuse^_^ Loisirs : les RPG, le graphisme, lire, faire marcher mon imagination,... Date d'inscription : 02/09/2007
| Sujet: Re: On va vous faire lire un peu *__* Mer 12 Sep - 3:47 | |
| C’était comme si ces deux yeux noir essayait d’engloutir le Lieutenant Colonel, ce qui troubla l’homme qui adressa un sourire hésitant à la jeune fille qui tourna le regard vers Colmer. Alexander tendit le bras pour présenter son Lieutenant.
-Voici le Lieutenant Colmer, il se chargera d’emmener votre fille à Briggs. Pendant ce temps nous nous rendrons à Baschool Général. Cela vous va ?
Morgan jaugea du regard Colmer, et alors qu’il s’apprêtait à décliner la proposition d’Alexander, Mina tira la manche de son père et d’une voix douce et cristalline elle lança tout en plaçant son ours en peluche entre elle et Colmer.
-Regarde papa, le monsieur ressemble à Timothy.
Si le général Morgan n’avait pas était présent Alexander se serait plié de rire, mais se retenant, il ne put qu’esquisser un sourire tant dis que Colmer, lui, avait une veine qui commencer à palpiter prés de sa tempe, le regard dirigé vers l’ours en peluche qu’il assassinait du regard imaginant à la place de celui ci la jeune Mina, il savait que si son regard s’était porté vers la jeune fille directement, Morgan aurait réagis en conséquence. Morgan éclata de rire et posa sa main sur la tête de sa fille.
-Oui, c’est vrais, il se ressemble…
Il fixa Alexander et Colmer.
-Bien, j’accepte, mais, si il lui arrive quoi que ce soit, vous aurez affaire à moi !
La menace était claire et précise, tous le monde savait qu’il ne valait mieux ne pas s’attirer les foudre du général, ce qui en faisait un homme redoutait à la fois par ses ennemis mais aussi par ses amis. Colmer fit un bref salut au général, puis tendit la main vers Mina.
-Viens ma petite, nous allons ensemble à un endroit très…
Colmer eu un petit silence, ce que toute personne aurait si il devait trouver un qualificatif rassurant pour désigner le fort.
-… bien protégé.
Il adressa un regard à Alexander en plus d’un haussement d’épaule. Morgan désigna du doigt une dizaine de valise entassé sur le quai.
-Ce sont les bagages de ma petite Mina.
Colmer regarda, dépité les valises , puis se tourna vers deux soldat derrière lui et leurs ordonna de les mettrent dans la voiture qu’ils allaient utiliser. Mina saisit la main que Colmer lui tendait et tout deux partir vers le hall de la gare suivit par les soldats qui portait chacun 5 valises. Morgan fixa Alexander.
-Bien, maintenant occupons nous de se transfert.
Les deux officiers se dirigèrent vers les camions où les alchimistes étaient embarqués. Les valises du général Morgan était chargé dans une voiture, lui et Alexander observait les prisonniers être placé dans les camions. Alexander faisait promenait son regard sur les visages des alchimistes, des visages brisés, douloureux, tristes, désespérés, suppliants, Alexander ne connaissait que trop bien ces visages, il en avaient tant de fois, mais à chaque fois, cela lui donnait la nausée, il ne supportait plus de voir l’expression de ceux qu’il conduisait à leurs tombes. Ses yeux s’écarquillèrent, ces poings se serrent, son expression ce durci, il venait de le voir, la seul personne souriante parmis ces centaine d’âmes en peine, l’homme qu’il haïssait le plus en ce monde, son demi-frère, Adam Zolpavish. Alexander se mit en marche vers l’homme, d’un pas décidé, il saisit l’homme par le col qui ne l’avait pas encore remarqué et lui envoya s’écraser dans le nez son poing, envoyant à terre totalement pris au dépourvu de la situation, son sourire ayant disparut pour une expression de haine qu’il dirigea vers son agresseur, avant d’à nouveau sourire, hilare de voir qui venait de le frapper, il fixa Alexander dans les yeux, aux lèvres, un sourire de dément tant dis qu’un filet sang coulait de son nez.
-Mais quelle surprise ! regardez qui nous avons là, Alexander Zolpavish…
-Van Grahn ! Nous n’avons plus aucun lien ensemble !
Alexander venait de hurler cela plein poumon tendit que deux soldats le retenait d’aller continuer à frapper Adam toujours allongé sur le sol froid. Le général Morgan se plaça derrière Alexander et fixa dans les yeux Adam avant de regarder le lieutenant colonel.
-Assez Lieutenant !
Alexander se calma, ramenant ses bras le long de son corps mais gardant les poings serrés pour contenir son envie d’à nouveau en coller une à l’homme. Adam se releva aidé par un soldat puis il fixa son demi-frère, essuyant d’un revers de manche le sang coulait.
-Pour moi, tu sera toujours mon petit frère stupide… celui qui m’envoie finir la fin de mes jours dans un trou sombre…
Alexander fixa droit dans les yeux l’homme devant lui, celui ci même qui ce tenait à coté de lui tendis que le général Morgan apparaissait dans l’encadrement de la porte de son bureau au camp il y a de cela deux ans, à la différence que cette fois ci, l’homme était encore son demi-frère. A ce moment là, Alexander n’aurait jamais imaginer vouloir la mort d’Adam et pourtant, tout commencer à ce moment précis, le général Morgan venait leur annoncer qu’ils allaient devoir remmener les ishbalites qu’ils avait conduit ainsi que tout ceux que le camp gardait captif, l’ordre d’exécution ordonnant l’extermination du peuple Ishbal avait était annulé. Cette nouvelle rendit heureux Alexander, bien que la tristesse d’avoir du participer à un ordre aussi horrible restait gravait en lui, parcontre pour Adam, l’annonce lui fit disparaître son sourire pour de la colère, mais il ne répliqua rien et tout deux quittèrent le général pour aller se reposer. Les nuits dans le désert était fraîche, pourtant, cela ne dérangeait pas Alexander qui, accoudait à la fenêtre de sa chambre, celui ci admirait le ciel étoilé ainsi que la lune qui dominait celui ci. Alexander repensa à l’annonce que le Général Morgan leurs avait fait à lui et son frère, mais aussi à la réaction de celui ci qui avait disparut après le repas. Le général Morgan avait quitté le camp pour retourner au QG Sud, laissant le camp sous les ordres de Adam, mais une fois que celui ci quittera à son tour les lieux, ceux ci seront laissé à l’abandon jusqu'à ce que leur terrible mur resservent à l’armée. Alexander soupira et s’affala sur la rampe, regardant en bas, il n’y avait pas personne, enfin, si, il aperçu quelqu’un, Adam, celui ci semblait lancer un ordre auquel répondu plusieurs soldat qui coururent vers les grilles. Ils ouvrirent les portes et ordonnèrent au ishbalites, tout en les menaçant de leur armes, de sortir, ce qu’ils firent promptement, ne sachant ce qui ce passait. Alexander regardait la scène, il ne comprenait pas ce qui ce passait, pourquoi Adam ordonnait-il au soldat de faire sortir les détenus ? Il ne resta pas plus longtemps à observer la se qui se passait sous ses pieds, il se dirigea vers la sortie, attrapant au passage sa veste et son arme de service. Une fois sortie du bâtiment, il intercepta un soldat en pleine course.
-Mais bon sang, que ce passe t’il ?
-Le colonel Zolpavish a ordonné que l’on rassemble tous les ishbalites.
-Mais pourquoi faire ?
Le soldat haussa les épaules et repartie en courant. Alexander se dirigea vers le lieux où il avait vu que l’on emmenait les prisonniers. Tout les prisonniers du camp avait étaient alignés à un mur, face à eux, deux ligne de soldats, le fusil le long du corps attendant les ordres, ceux d’Adam qui s’était positionné sur le coté, un sourire aux lèvres, il fixait les ishbalites dont les visages était déformé par la peur de ce que leur réservait le Colonel, mais en plus de la peur ce mêlait le désespoir, celui ci même qui vient après que l’on brise un rêve de liberté promis à ceci par le général Morgan lorsqu’il leur annonça que l’Amestris arrêtait le génocide dont les Ishbal était victimes. Alexander ne compris que trop rapidement ce qui ce passait et il se précipita au devant de son frère.
-Adam, c’est quoi ce bordel ?
Le colonel tourna son regard sur son demi-frère, toujours un sourire au lèvre il lui répondit d’une voix vibrante d’une joie non dissimulé.
-Mais je fini le travail mon cher frère.
-Finir le travail ?
Alexander regarda son frère, déboussolé, perdu, il ne comprenait pas de quoi il parlait, il dirigea son regard vers les ishbalites, puis vers les soldats et enfin sur son frère, à ce moment là son sang ne fit qu’un tour, il empoigna violemment le col d’Adam.
-Mais tu es cinglés ! C’est terminé ! tu n’as pas le droits de faire sa !
Adam rejeta Alexander en arrière et le toisa du regard.
-Commandant Zolpavish, essayeriez vous d’aller outre les décision de votre supérieur ?
-C’est toi qui va à l’encontre des ordres !
Alexander se tourna vers les soldats qui regardaient la scène sans comprendre ce qui se passait.
-arrêtez tout de suite et remmenez les dans leur baraquement !
Adam assena à son demi-frère un croché dans la figure.
-Tu essaye de prendre les ordres à ma place ? Soldat, emmenez le tout de suite et enfermez le dans une cellule !
Il se tourna vers les soldats, mais aucun ne bougea, tous le regardaient perplexe. La colère apparut sur le visage d’Adam.
-Vous foutez quoi ? je vous ai donné un ordre !
A ce moment il compris qu’il n’obtiendrait plus rien d’eux. Il foudroya du regard son frère avant de se tourner vers les Ishbals qui eux non plus ne semblait pas comprendre ce qui se passait. Il plongea la main dans le sac qu’il portait constamment en bandouillèrent et en sorti un gantelet qu’il mit puis il leva le bras en l’air.
-Dans ce cas !
Il frappa le sol de son poing, à ce moment là des éclaire bleuté jaillirent au niveau du poing d’impact et se diffusèrent dans le sol pour modeler celui ci, lui donnant la forme d’un canon qui braquait les prisonniers. Celui fit feu, et un violent explosion frappa les Ishbals qui ce mirent à paniquer. Alors que le colonel allait recommencer, celui ci reçu une balle dans l’épaule qui le jeta au sol, le tire venait de d’Alexander qui à présent regardait son frère recroquevillé sur lui même, tenant son épaule ensanglanté tout en hurlant de douleur tant dis que les soldats commencèrent à tirer dans la foule d’Ishbals qui se jetait sur eux paniqué par l’attaque de Adam. Alexander regarda la scène horrifié, les soldats ouvraient le feu sans sommation sur les ishbalites qui se jetaient sur eux s’emparant de leur armes et tirant sur d’autre soldat. Alexander regardait cette folie impuissant, puis, il tourna le regard vers son frère, il empoigna le poignet de celui ci et lui retira son gantelet, en profitant pour le séparer de son sac qui contenait le deuxième. Il mit le gantelet à sa main et frappa le sol créant la aussi dans une danse d’éclaire bleuté un nouveau canon mais à la différence de l’autre, il était tourné vers le mur d’enceinte et il tira. Une brèche s’ouvrit dans le mur, l’explosion faisant cesser un cour instant les combats, les prisonniers purent voir la chance que leur offraient Alexander. Alors que les soldats continuaient à tirer sur eux, les ishbalites fuyaient par la brèche et s’éloignait dans le désert qui leur offrait plus de chance de survit que si ils étaient restés dans le camp. Lorsque le dernier prisonniers se fut enfuit, un soldat vint au devant d’Alexander, celui ci se tourna vers lui et pointa du doigt Adam, toujours recroquevillé au sol.
-Je prend le commandement ! Emmenez moi ça à l’infirmerie, le colonel est relevé de ces fonction pour être passé outre un ordre de l’Etat-Major et gardez un œil sur lui, si il tente quoi que ce soit, abattez le !
-Et pour les prisonniers ?
-Il n’y a plus de prisonniers ici, laissait les, après tout, cela nous évitera de devoir ratissez tout le désert, et on a des corps à remmener à leur famille… Disons que nous avons remplie notre mission plutôt que prévu… rassemblez les corps, enterrez les ishbalites en mettant leur noms sur leur tombes, pour les notre, enveloppez les corps et entreposez les dans les baraquement, nous les reprendrons demain avant de partir…
Alexander fit demi tour, il voulait aller se reposer, il était à bout de nerf. Il préviendrait le QG demain, en attendant, il comptait bien dormir dans son lit tant dis que les soldats allaient s’occuper des morts et garder Adam qui était emmené dans l’infirmerie sous escorte de cinq soldats qui ne ménageaient pas le responsable d’une telle tuerie. Le lendemain, Alexander quittaient le camp avec toute la garnison, regardant une dernière fois ces mur ocres couvert par le sang de temps de personne. Il ferma les yeux et s’endormie pour remplacer la chaleur pour le froid, le sable pour la neige, à présent il se trouvait dans le nord, sur une route de montagne, convoyant non pas des ishbalites, mais des alchimistes dont son demi-frère. Et à coté de lui, le général Morgan lui racontait une des ses innombrable bataille dans le torride désert du Sud alors qu’autour d’eux, les montagnes du Nord exposaient leurs froides beauté.
[Et voila, aprés... 5 postes d'affilés (o.O) je vous ai posté ma 1er fanfic qui n'est pas terminé qui plus est^^' j'espère que vous allez aimer^^] | |
| | | Dahalia Futur repas
Nombre de messages : 79 Age : 32 localisation : regarde bien...baisse un peu...non pas trop, plus à gauche...ben voilà je suis là Date d'inscription : 03/09/2007
| Sujet: Re: On va vous faire lire un peu *__* Dim 16 Sep - 9:24 | |
| oh c'est long bon je vais être honnête, j'ai pas eu le courage du tout lire, juste tes 2 premiers posts, mais c'est très bon à date continu comme ça! (quelques petites fautes au passage, mais faut te pardonner, t'a pas finit de corriger...quoi que ça doit pas être rigolo de tout corriger ça...XD) | |
| | | Marverik Pétale de fleur
Nombre de messages : 11 Age : 34 localisation : entre la connerie et l'intelligence^^ qu'as-tu à dire d'autre ? : rien, à part que j'aime les allusions plus que douteuse^_^ Loisirs : les RPG, le graphisme, lire, faire marcher mon imagination,... Date d'inscription : 02/09/2007
| Sujet: Re: On va vous faire lire un peu *__* Lun 17 Sep - 14:17 | |
| Tu as eu le courage de lire (meme si tu n'as lut que les 2 premiers poste XD)
effectivement, je m'éclate à corriger tout cela... même si il y a le correcteur d'orthographe, je dois tout de même faire une relecture^^'
en tout cas merci (faut peut etre que je commence à me pencher sur le 4e chapitre moi...) | |
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